Quand le langage échoue, que reste-t-il pour dire ? Et que nous dit ce corps qui parfois se rappelle à nous, en douceur ou dans la douleur ?
Il faudrait alors laisser parler nos corps, mais comment en déchiffrer alors le sens, sans se laisser déborder par un chaos de sens ? Comment accueillir ce dire-là, plus intuitif, plus animal et plus fragile ?